Salut à toutes et à tous,
J'ai mis deux termes entre guillemets tant ils sont délicats à employer mais c'était pour situer le thème.
Alors voilà, je me demandais, compte tenu du statut non reconnu de notre métier, jusqu'à quel point pouvons-nous aller pour les "prescriptions" ?
L'objectif est de se protéger en restant dans la légalité. EN fait, je ne sais pas comment présenter ma question mais :
Est-ce que vous notez sur le document que vous remettez la posologie exacte à respecter si vous décidez de conseiller un complément alimentaire ?
Faites-vous mentionner en bas de page un texte quelconque stipulant qu'il s'agit de conseil, de contenu à caractère informatif qui ne dispense pas d'une visite chez un médecin ?
Bref, comment procédez-vous ?
Merci d'avance...